Monsieur le président Sauvadet nous a alertés à de nombreuses reprises sur les graves conséquences qu'aura ce texte, que nous constaterons bientôt. La question qui se pose aujourd'hui, c'est celle de la conciliation entre la nécessaire mise en oeuvre de la parité et le respect de l'égalité des territoires.
Comme Jean Lassalle, nous sommes sans illusion : nous savons bien que vous n'allez pas bouger aujourd'hui, mais nous espérons qu'après un passage au Sénat, si cette loi revient devant nous, vous finirez par évoluer sur la question des 20 %. En effet, la seule façon de faire respecter les territoires, c'est d'introduire plus de souplesse dans ce texte de loi et de donner davantage de libertés à ceux qui s'occuperont du découpage.