Deuxièmement, vous faites référence à l'histoire, à ces 200 dernières années, au rôle du canton, à sa place, au fait que le canton n'est pas politisé, qu'il y a des divers gauche, des divers droite, des indépendants, des paysans. Tout cela est vrai mais le taux de 10 % est la norme historique pour les cantonales. C'est la loi de 2010 qui a rompu cette continuité.