À ce titre, peut-être renoncerez-vous à abîmer notre pays, comme vous le faites avec ce texte !
Je pars donc avec quelque espoir. Je me dis que nous ne sommes pas arrivés au bout du bout de la mise au point de ces nouveaux cantons avec ces deux conseillers généraux, un homme et une femme. Je souhaite de tout coeur que, dans les futurs textes, on parle de nouveau de l'avenir des territoires ruraux, qu'on leur donne une nouvelle confiance et que le préfet ait l'ardente obligation de les réactiver au nom de la nation réunie.
Monsieur le ministre, j'espère que la Vallée d'Aspe, qui s'administrait librement dès l'an 1020 par les fors de Navarre, aura encore pour quelque temps un représentant au conseil général des Pyrénées-Atlantiques.