Cet amendement et le suivant concernent la transition écologique en matière d’urbanisme et de construction.
L’amendement no 1040 vise à lutter contre l’artificialisation des terres en limitant l’impact écologique des nappes de parkings en plein air qui se répandent à l’entrée de nos villes – nous en avons déjà parlé.
Si parkings en plein air il doit y avoir, ils doivent être recouverts d’un revêtement perméable qui laisse passer l’eau, ce qui permet de redonner au sol ses fonctions essentielles, comme l’infiltration des eaux et l’oxygénation.
Les eaux de pluie tombant sur des sols perméables ne ruissellent pas et ne se chargent pas en polluants. L’écoulement doux permet au système végétal et au sol traversé de dépolluer en partie les eaux de ruissellement avant leur arrivée aux rivières et aux nappes souterraines.
De plus, ces sols perméables plus humides permettent, grâce au phénomène d’évapotranspiration, de lutter contre les îlots de chaleur.