Je ne sais s’il est vraiment utile de répondre à M. Berrios, car j’ai déjà fait cet exercice hier, lui indiquant de manière précise que l’information qu’il avançait était erronée. Il a semblé écouter ma réponse, puis a fait une sorte de communiqué pour indiquer le contraire de ce que je lui avais dit.
Je pense donc qu’il va redire que la commission qui existe déjà n’existe pas. C’est un peu désolant, mais je répète que l’avis du Gouvernement est défavorable, puisqu’il n’y a pas lieu de prendre la décision qu’il propose.