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M. Guillaume Chevrollier attire l'attention de M. le ministre de l'économie et des finances sur les frais de fonctionnement de Bpifance. En effet, la Cour des comptes pointe une politique immobilière « coûteuse » avec une multiplication des locaux. D'autre part, la Cour souligne aussi des frais de taxis qui s'élèvent à en moyenne 530 euros par directeur de la banque et par mois alors que celle-ci octroie par ailleurs des véhicules de fonction à certains d'entre eux. Il vient lui demander si le Gouvernement compte remettre de l'ordre dans ces dépenses trop importantes à l'heure où nos finances publiques sont dans un état inquiétant et où un effort est demandé à nos concitoyens.
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