Les amendements de Alexandre Holroyd pour ce dossier

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Demain, notre assemblée sera appelée à se prononcer sur le dernier budget du quinquennat. Ce budget résulte de réformes économiques majeures entreprises dès l'été 2017 et de la relance engagée en septembre dernier. Trois constats s'imposent. Premièrement, jamais notre pays n'avait enregistré une croissance économique aussi forte depuis que l'h...

Au-delà de ces résultats économiques, ce budget reflète nos engagements à l'égard des Français. Nous allons protéger nos concitoyens face à l'envolée des prix comme nul autre grand pays ne le fait. En 2022, les prix du gaz n'augmenteront pas en France et la hausse du tarif réglementé de l'électricité n'excédera pas 4 %.

Sans ce budget, le prix du gaz augmenterait de 20 % et celui de l'électricité de 25 %. Cet hiver, grâce à ce budget, 5,8 millions de ménages modestes bénéficieront d'une augmentation de 100 euros de leur chèque énergie pour régler leurs fractures.

Dans les soixante jours qui suivront l'entrée en vigueur de ce budget, 38 millions de nos concitoyens recevront une somme de 100 euros, qui les aidera à faire face à une explosion temporaire des prix – celui de la baguette de pain, du carburant ou des pâtes.

Reconstruire une économie forte et compétitive pour rendre à la puissance publique les moyens de protéger les Français lorsque la situation l'impose, n'est-ce pas là, monsieur le ministre délégué chargé des comptes publics, la raison d'être ce budget ?

Depuis plus d'un an, le Gouvernement a instauré des dispositions de soutien économique sans précédent. Il a un objectif clair : protéger les citoyens et les entreprises, quel que soit le coût, face à une crise sanitaire qui a des conséquences économiques à nulles autres pareilles. Mais cette politique a un coût, monsieur le ministre, et nous de...

Monsieur le ministre chargé des affaires européennes, il aura fallu près d'une demi-décennie d'âpres négociations pour conclure les termes de la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne. Au terme de ces négociations, et malgré les regrets qu'on peut avoir quant à la décision initiale du peuple britannique, nous pouvons nous féliciter : nos i...

Nos concitoyens et trois millions d'Européens vivant au Royaume-Uni voient la quasi-totalité de leurs droits préservés et entérinés dans un accord international. Notre marché commun est protégé et renforcé. Nos entreprises, nos agriculteurs et nos viticulteurs continueront à avoir un accès aux marchés britanniques sans tarif ni quotas, et avec ...

neuf jours, il reste neuf jours aux Britanniques pour décider dans quelles conditions le Royaume-Uni quittera l'Union européenne. Cela pourrait paraître simple : c'est, après tout, un accord négocié par la Première ministre, soutenue par son gouvernement, que la Chambre des communes est appelée à ratifier. Pourtant, les parlementaires britanni...

Cela dit, nous ne sommes pas seulement les spectateurs de cette débâcle : 350 000 de nos concitoyens vivant au Royaume-Uni se couchent chaque soir dans l'angoisse de savoir si leurs droits seront préservés demain.

Pourront-ils se faire soigner comme hier ? Garderont-ils leur emploi, leurs droits à la retraite ? C'est vers vous, madame la ministre, que leurs regards se tournent dorénavant. Dans nos ports, notamment à Calais, là où transitent chaque année plusieurs dizaines de millions de tonnes de biens, nos fonctionnaires et nos entreprises sont confron...

… il y a plusieurs mois, le Parlement a donné au Gouvernement des pouvoirs importants, les coudées franches, pour se préparer à un Brexit dur. Nos viticulteurs, qu'ils soient dans le Bordelais ou dans le Cher, nos champions industriels, comme Airbus ou EDF, et nos PME, partout en France, …

… sont-ils prêts à faire face à ce choc ? Enfin, il apparaît que la Première ministre britannique s'apprête à demander au Conseil européen un nouveau report du Brexit. C'est une demande lourde de conséquences pour l'Union européenne. Quel regard notre pays et le Gouvernement portent-ils sur cette requête ?

Il y a deux ans et demi, j'ai été le témoin de la campagne référendaire britannique sur l'éventuelle sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne. Je me souviens encore des promesses de certains responsables politiques britanniques. Sortir de l'Union ? Enfantin ! Les conséquences économiques pour le Royaume-Uni ? Négligeables ! Les acquis perdus...

Monsieur le ministre de l'économie et des finances, vendredi dernier, l'Union européenne a encore montré que, lorsque le cap est clair et la volonté politique réelle, les résultats suivent. L'adoption du paquet bancaire par les ministres de l'économie et des finances des États membres de l'Union européenne est un succès pour la France. C'est le...

C'est enfin une victoire, car le paquet bancaire renforce la capacité de nos banques à financer notre économie et à créer ainsi l'emploi dont nous avons tant besoin. Monsieur le ministre, l'euro est un immense atout face à la mondialisation, mais notre union monétaire repose sur des fondations encore trop friables. S'il convient de se félicite...