Liberté de choisir son avenir professionnel — Texte n° 1019

Amendement N° 133 (Rejeté)

(1 amendement identique : 143 )

Publié le 9 juin 2018 par : Mme Bazin-Malgras, M. Masson, M. Pradié, M. Leclerc, Mme Levy, M. Ramadier, M. Rolland, Mme Kuster, Mme Valentin, M. Vialay, M. Rémi Delatte, M. Brun, M. Bazin, M. Abad, Mme Louwagie, M. Reiss, Mme Bassire.

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I. – Supprimer l'alinéa 2.

II. – En conséquence, supprimer les alinéas 42, 45, 49, 50, 53, 62, 108 à 114, 121 à 124, 170 et 173.

Exposé sommaire :

Le passage d'une logique de droits calculés en heures de formation à celle de droits calculés en euros se fera au préjudice des titulaires de comptes personnels à la formation.

En effet, cela revient à convertir les droits, stockés sur le CPF, au taux de 14,22 euros par heure. Or, la moyenne du coût horaire des formations était plutôt de 30 à 40 euros, avec des pics à 50 euros et plus dans certaines branches.

Cela veut dire que les salariés auront moins de droits. Il faudra attendre quatre ans pour pouvoir suivre une formation qualifiante et intéressante, alors qu'auparavant, deux à trois années suffisaient pour accumuler le crédit requis.

L'objet de cette loi est de favoriser l'accès à la formation professionnelle pas à le dégrader. Le calcul du compte en euros s'accompagnera d'une perte de droits. Nous ne pouvons y souscrire, c'est pourquoi cet amendement propose de supprimer cette disposition du texte.

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