Droits à protection sociale des assistants maternels et des salariés des particuliers employeurs — Texte n° 3807

Amendement N° AS1 (Irrecevable)

Publié le 5 mars 2021 par : M. Ruffin, Mme Autain, M. Bernalicis, M. Coquerel, M. Corbière, Mme Fiat, M. Lachaud, M. Larive, M. Mélenchon, Mme Obono, Mme Panot, M. Prud'homme, M. Quatennens, M. Ratenon, Mme Ressiguier, Mme Rubin, Mme Taurine.

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À la première phrase du premier alinéa de l’article L. 423‑19 du code de l’action sociale été des familles, les mots : « en référence au » sont remplacés par les mots : « sans pouvoir être inférieur à un tiers du ».

Exposé sommaire :

Les assistantes maternelles ont été une pièce maitresse lors du confinement. Ce sont elles qui ont gardé les enfants des professionnels de santé, et de toute cette fameuse « première ligne » occupée à « faire la guerre au virus ».

Dans cette période si particulière, le pays n’a pas pu ignorer l’importance de ces femmes qui, souvent sans réelle protection, ont continué de prendre en charge l’éveil de milliers d’enfants dont les parents risquaient leur vie pour en sauver d’autres.

Ces femmes font partie de celles que « nos économies reconnaissent et rémunèrent si mal ». 2,85 euros bruts de l’heure par enfant ! Ainsi, les revenus sont inférieurs à 1.500 euros et 22 % vivent avec moins de 1000 euros par mois.

On peut difficilement faire plus faible comme rémunération. Afin que leur métier indispensable soit enfin reconnu, il est temps de proposer que ce taux horaire minimal soit relevé de manière conséquente, afin de leur permettre à elles, également, de vivre dignement.

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