Les amendements de Bernard Perrut pour ce dossier

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Les unités régionales de professionnels de santé – URPS – doivent être associées, comme les universités et les collectivités territoriales, à l'analyse des besoins et de l'offre en matière de formation des professionnels des secteurs sanitaire et médico-social. Je rappelle que les médecins libéraux installés participent à la formation des médec...

Cet article 1er réécrit entièrement l'article L. 631-1 du code de l'éducation et modifie le mode d'accès aux études médicales. Il est primordial que le calendrier des réformes soit cohérent, sous peine de mettre en place des dispositifs d'accès aux études qui devront être amendés l'année suivante pour tenir compte de la réforme du lycée et du b...

Dans la continuité de ce qui vient d'être dit, la réforme des études de santé proposée par le projet de loi serait l'occasion d'y intégrer la formation en kinésithérapie, afin de favoriser une collaboration plus étroite entre les professionnels de santé en vue d'un exercice pluriprofessionnel coordonné plus efficace. Cet amendement a donc un b...

Il appartient aux universités de définir les capacités d'accueil des formations en deuxième et troisième années, sur la base des objectifs pluriannuels d'admission en première année du deuxième cycle de ces formations, arrêtés sur avis conforme des ARS. Il importe que la logique de décloisonnement entre ville et hôpital soit prise en compte dè...

Chacun est conscient de la nécessité de réécrire l'article L. 631-1 du code de l'éducation consacré à la PACES. Cet amendement vise à préciser le « parcours de formation antérieur » en introduisant dans le code de l'éducation les deux options qui permettent l'accès aux études de médecine, pharmacie, odontologie et maïeutique : la première optio...