Les amendements de Christian Hutin pour ce dossier

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Mon intervention sera peut-être plus technique, mais je crois le moment venu d'aborder le problème de la pénurie affectant les pharmacies. Je voudrais rappeler aux Français qui suivent nos débats que, pendant très longtemps, il n'y a eu aucun problème en ce domaine. Les difficultés sont survenues depuis deux ou trois ans, concernant notamment l...

Tout en étant moins constructifs que vous, monsieur Benoît – puisque nous n'avons pas voté la première partie du projet de loi de finances et ne voterons probablement pas le présent texte – , les membres du groupe Nouvelle Gauche trouvent vos deux amendements très intéressants. Lorsque l'on connaît un peu le monde agricole, on sait qu'il a beau...

Après tout ce qui a été dit depuis le début de l'examen de cet article, voilà une réponse un peu courte. C'est pourtant bien le moment d'argumenter. Monsieur le rapporteur général, madame la présidente de la commission, combien de rapports n'avons-nous pas présentés ensemble au cours de la dernière législature ? Et ils portaient sur des sujets...

Le rapport que nous demandons ici porte sur un objet dangereux, un objet qui présente à nos yeux un risque. Et l'ensemble des amendements que vous avez déposés montrent que vous en êtes conscient, monsieur le rapporteur général. D'une certaine manière, et je peux le comprendre, on essaie de régler les problèmes le mieux possible en fonction de ...

Tout le monde sait donc qu'il y a un risque. Un gouvernement, une majorité, un Parlement dans son ensemble ne peut accepter un tel risque s'il ne permet pas d'établir parallèlement un rapport sur l'efficacité de la réforme en cause. Par ailleurs, et vous l'avez très bien expliqué, l'ensemble des travailleurs du RSI s'inquiètent aujourd'hui de ...

Madame la ministre, mon propos sera peut-être un peu iconoclaste. Je suis un député du vieux monde, je dirais même, d'un autre monde. Je suis médecin – je ne sais pas si j'ai bien fait de l'être… – , je suis fumeur – je suis sûr de ne pas avoir bien fait de l'être – et j'ai été membre de la commission des affaires sociales pendant dix ans. Dep...

et je ne demande jamais leur remboursement à la Sécurité sociale. J'essaie donc de faire des efforts. Enfin, 30 % des Français fument. De temps en temps, j'entends des propos extrêmement stigmatisants. C'est terrible ! Il ne faut pas diaboliser les fumeurs ! Ce ne sont pas des drogués ! Il me semble essentiel de les respecter pendant le débat ...

Nous ne sommes pas encore intervenus depuis l'amendement de suppression que nous avons déposé car l'on est en train, on le comprend, de fusionner deux régimes. Ce fait assez exceptionnel méritait peut-être un peu plus d'attention, voire un projet de loi. Il y a vingt jours, le président national du RSI disait : « Il n'est pas question que j'en...

Mais il y a un problème qui reviendra dans les années qui viennent, et nous risquons d'avoir quelques soucis.

L'opposition a été très claire. Il existe un fait majoritaire écrasant, ce qui n'empêche pas l'opposition de contester que l'Assemblée nationale fusionne deux régimes en une demi-heure en fin de journée alors qu'historiquement, en France, cela ne s'est jamais passé ainsi.

Les professions sont ajoutées à la liste amendement par amendement ! Et on nous reproche, vous nous reprochez, mon cher collègue Mesnier – cela n'a rien de personnel – , de contester que l'on aille si vite sur un sujet aussi important ! C'est pourtant parfaitement légitime ! Évidemment, nous ne sommes pas nombreux. Évidemment, vous pensez avoi...

Pourquoi ne pas ajouter aussi à la liste les réflexologues plantaires ? Nous avons eu des spécialistes dans cette assemblée.

Sérieusement, M. Lurton a raison s'agissant des maîtres d'oeuvre. Et les bureaux d'étude, où figurent-ils ? Il y a en France au moins 25 000 ou 30 000 personnes qui y travaillent. Ce sont des points de détail, mais cette rapidité, cet ajout de professions au fur et à mesure, même sous l'égide d'un inspecteur général des affaires sociales parfai...

Nous reconnaissons le fait majoritaire : vous nous avez battus, soit ; mais laissez-nous tout de même dire ce que nous pensons !

En effet, nous sommes déçus, madame la ministre : nous pensions assister à une révolution, mais une révolution bourgeoise n'est pas une révolution. S'il est une révolution, ce sera peut-être dans les porte-monnaie des familles. Je pense en particulier à l'augmentation de la CSG – nous aurons l'occasion d'en parler au cours des débats. Je pense...

… et évoquer cette question dans un cadre interministériel. Cela me semblerait important – mais je crois que nous discuterons de ce sujet durant nos débats.