Les amendements de Émilie Bonnivard pour ce dossier

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Actuellement, la formation universitaire des médecins est réalisée majoritairement par des universitaires hospitaliers. Les étudiants peuvent donc avoir tendance à voir dans ce modèle celui de leur carrière à venir, c'est-à-dire une carrière plutôt orientée vers le milieu hospitalier et vers des spécialités. Si la levée du numerus clausus est p...

Le taux d'échec à l'issue de la première année commune aux études de santé est un gâchis pour les étudiants concernés. Pour l'année universitaire 2017-2018, 59 753 étudiants étaient inscrits en première année commune aux études de santé : 41 056 sortaient du baccalauréat, 18 367 la redoublaient et 330 la triplaient. Sur 1 000 étudiants inscri...

Je remercie Mme la ministre, même si je ne retire par l'amendement : elle a compris son sens, qui n'était pas d'instaurer une sélection à partir de la fin du baccalauréat.

L'objet de cet amendement est de prévoir, en amont de l'avis de l'ARS, une consultation des URPS qui ont tout leur rôle à jouer dans la définition des objectifs, d'autant que les médecins libéraux, quelle que soit leur spécialité, participent à la formation par la prise en charge de stagiaires dans les cabinets de ville. Les URPS peuvent appréc...

Je citerai un exemple pour répondre à M. Borowczyk. Au début de mon mandat, j'ai sollicité Mme la ministre, qui m'a fort bien répondu, sur un problème de cartographie médicale et d'accessibilité potentielle localisée, parce que la carte ne prenait pas en compte la population touristique d'un territoire. Grâce à la vigilance des parlementaires,...

Dans la continuité des propos de Jeanine Dubié, je rappelle que les territoires de montagne font face à des contraintes particulières – difficulté d'accès, temps de déplacement, faible densité. Ils font d'ailleurs l'objet d'une loi spécifique, la loi montagne, qui vise à adapter de manière générique notre législation à ces territoires, afin que...