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Mobilités
(Article 1er a)


Les interventions d'Éric Coquerel


Les amendements de Éric Coquerel pour ce dossier

7 interventions trouvées.

Il faut se convaincre d'une chose : la transition ou la bifurcation écologique – quel que soit le nom qu'on lui donne – sera impossible sans une priorité donnée au ferroviaire. Impossible ! S'en remettre au marché, à l'ouverture à la concurrence ou à la recherche de la rentabilité, cela ne tient donc pas la route au regard du bilan que l'on doi...

Et alors ? Pour la seule raison que j'étais en commission ou ailleurs, je n'ai pas le droit d'en parler ? Ce genre de réaction est assez désagréable. On met quarante-cinq minutes de plus pour aller de Paris à Toulouse, disais-je, car on a laissé cette ligne se dégrader, pour favoriser, notamment, le futur barreau TGV. Sur cette question de fo...

Nous ne demandons qu'un arrêt de ces fermetures, au bénéfice d'un redéploiement. Vous vous expliquerez sur ces fermetures, madame la ministre, mais c'est ce que j'observe.

Tout cela est très bien – je vous sens très enflammée, madame Pompili – , mais il y a quelque chose que je ne comprends pas : on ne vous demande qu'un moratoire, pas un mea culpa…

Laissez-moi parler, s'il vous plaît. On vous demande d'instituer un moratoire, pas de faire un mea culpa ni d'établir les responsabilités des uns et des autres – en ce qui nous concerne, nous ne les partageons pas, notamment en ce qui concerne le tout TGV – dans la politique menée par le passé. Vous nous dites que nous avons raison de demander...

… mais, quand nous sollicitons un moratoire pour pouvoir y réfléchir ensemble, vous répondez que ce n'est pas possible ! Vous rendez-vous compte que c'est contradictoire ?

Mais si, notre amendement va dans ce sens ! Notre collègue d'Aquitaine nous enjoint de nous garder de tout procès d'intention et d'être confiants. Mais la loi ne sert-elle pas à s'assurer que certaines choses seront faites ? Ce n'est pas un problème de confiance. Depuis des années, nous assistons à la fermeture de petites lignes. Ça, c'est con...