Les amendements de Gilles Le Gendre pour ce dossier

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Il est lui aussi fondé sur l'article 100. Je suis tout à fait d'accord avec ce qui vient d'être dit et je joins ma voix à celle des présidents Abad et Mignola pour appeler au respect et à la dignité des débats – nous y tenons tous. Cependant, il est troublant de constater qu'à chaque rappel au règlement, tout le monde se pare des plumes de la...

Je me garderai bien d'ajouter la moindre critique susceptible de relancer la polémique, toutefois je constate une contradiction folle entre la volonté d'avoir un débat efficace, démocratique et riche, et le fait qu'au bout de sept jours, nous n'en soyons encore qu'à la moitié de l'article 1er ! J'accorderais le plus grand crédit à ces déclarati...

Il se fonde sur l'article 100. Le problème n'est en rien juridique et ne concerne pas la procédure parlementaire.

Vous l'avez très bien dit, monsieur le président Mélenchon : vous ne cherchez pas à enrichir le texte ou à l'amender, ni même à le contester ; vous souhaitez qu'il ne voie jamais le jour. Voilà votre objectif politique !

Si, car votre but n'est pas que le débat aille à son terme, il est que le débat n'ait pas lieu, afin que le projet de loi ne soit jamais voté.

Il pourrait y avoir 10 000 amendements de plus ou de moins, votre objectif est que ce débat ne prenne jamais fin. Notre objectif est inverse, et ce projet de loi sera voté !

Mon rappel au règlement est fondé sur l'article 58, alinéa 1. Nous avons tous conscience de la lourdeur de la tâche qui incombe au président de séance depuis le début de la discussion du texte.

Il est vrai que nous ne vous facilitons certainement pas la tâche – je pense notamment aux groupes qui font en sorte d'empêcher les débats de se dérouler dans la sérénité nécessaire.

… et de respect de la parole des rapporteurs et du secrétaire d'État, dont il n'y a en aucun cas lieu à contrôler ni la durée, ni la teneur.