Cet amendement vise à officialiser la plateforme française de lutte contre la manipulation des compétitions sportives. Une telle plateforme, inscrite dans la loi, permettrait de crédibiliser l'action de notre pays dans la lutte contre le crime organisé international.
Différents acteurs agissent aujourd'hui de manière conjointe, sous l'égide du ministère des sports, avec le procureur de la République financier, les services de police en charge des jeux, la cellule de renseignement financier nationale, l'ARJEL, l'AFLD, le Comité national olympique et sportif français, les fédérations, les ligues professionnelles et la Française des jeux.