Intervention de Annie Chapelier

Séance en hémicycle du jeudi 5 juillet 2018 à 15h00
Partenariat entre l'union européenne et la nouvelle-zélande — Discussion générale

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAnnie Chapelier :

Madame la présidente, monsieur le secrétaire d'État, chers collègues, cet accord de partenariat avec la Nouvelle-Zélande inscrit sur le papier nos expériences partagées, une vision et des objectifs communs pour un monde plus inclusif et plus vert – je donne ainsi d'emblée le ton de mon plaidoyer.

S'il est un partenaire naturel pour la France, un partenaire lucide et précurseur dans le contexte environnemental actuel, c'est bien la Nouvelle-Zélande qui, située sur la « ceinture de feu du Pacifique », est un pays dont les conséquences du changement climatique exposent la population et la mettent en danger, ainsi que la biodiversité marine et terrestre.

C'est un pays qui s'est forgé par son expérience de la gestion des risques et par son exposition aux catastrophes naturelles, et qui s'est engagé dans la lutte contre le changement climatique depuis déjà longtemps. Je vois donc en lui un allié dans ce travail de prise de conscience mondiale de l'urgence à laquelle nous sommes confrontés. On peut d'ailleurs noter qu'en Nouvelle-Zélande, M. David Parker porte la double casquette de ministre du développement économique et de ministre de l'environnement, …

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