Intervention de Régis Juanico

Réunion du mercredi 20 juin 2018 à 18h05
Commission d'enquête sur les maladies et pathologies professionnelles dans l'industrie risques chimiques, psychosociaux ou physiques et les moyens à déployer pour leur élimination

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaRégis Juanico :

Vous avez évoqué la nécessité de constituer une école de formation à la santé au travail. Comment l'envisagez-vous ? Avez-vous un modèle ou une architecture en tête et quelle serait l'articulation avec les instituts qui existent déjà, en particulier l'Institut national du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle (INTEFP) de Lyon, qui assure une formation très spécifique, notamment pour les inspecteurs du travail mais aussi d'autres agents de votre ministère ? Citant un certain nombre de travaux, notamment le guide sur le syndrome d'épuisement professionnel, rédigé sur l'impulsion de la DGT, vous sembliez dire qu'il y avait des partenaires nombreux. Il y a en effet beaucoup d'institutions dans le paysage. Nous les avons auditionnées et nous savons qu'elles ont toutes leurs spécificités. Nous connaissons bien, vous et moi, l'ANACT, puisque nous siégeons à son conseil d'administration. Que pensez-vous de l'idée d'une rationalisation et d'un regroupement ? Ce sont des organisations qui viennent régulièrement nous voir, au Parlement, et il leur arrive d'ailleurs de nous dire que l'on veut réduire leurs moyens financiers et humains. N'ont-elles pas toutes, en fin de compte, un rôle ou une spécificité qui rendrait difficile leur regroupement ou leur rassemblement dans une même instance ?

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