Vous avez rappelé, monsieur le président, qu'à l'initiative de Boris Vallaud, une solution avait été trouvée. Nous vous en avons donné acte et Guillaume Garot vous a félicité d'avoir accepté la constitution de cette commission d'enquête, en dépit des pressions que l'Élysée, j'imagine, n'a pas manqué d'exercer. En outre, l'ensemble des groupes sont parvenus à se mettre d'accord sur une organisation de ses travaux avec la présidente de la commission.
Mais nos interventions avaient un deuxième objet, et nous l'avons répété tout l'après-midi : comme dans toutes les grandes démocraties européennes, où le Parlement assume pleinement sa responsabilité vis-à-vis du peuple qui l'a désigné, nous demandons au Gouvernement de venir devant notre assemblée.