La logique est exactement la même pour la DGDDI que pour la DGFIP. Il s'agit donc, encore une fois, de se concentrer sur le juste besoin d'effectifs. Vous proposez d'ajouter le recrutement de 150 douaniers à une augmentation de 350 ETPT correspondant aux besoins particuliers qu'entraînera l'entrée en vigueur du Brexit. Or vous l'avez constaté vous-même : nous ne savons pas comment seront déployés les douaniers supplémentaires, qu'il s'agisse des postes créés l'an dernier ou de ceux qui vont l'être en 2019. Malgré de notables avancées aujourd'hui, nous ne savons pas précisément ce que sera le contenu de l'accord et quelles seront donc les missions demandées aux douaniers après le Brexit.
Mais il faut quand même rappeler l'effort consenti depuis plusieurs années pour renforcer les effectifs de la DGDDI.
Monsieur Lecoq, vous connaissez très bien le sujet : j'étais venu visiter le port du Havre à votre invitation – j'en profite à nouveau pour vous en remercier.