Intervention de Alexandre Holroyd

Réunion du lundi 3 décembre 2018 à 17h30
Commission spéciale chargée d'examiner le projet de loi habilitant le gouvernement à prendre par ordonnance les mesures de préparation au retrait du royaume-uni de l'union européenne

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAlexandre Holroyd, rapporteur :

En gros, c'est la question : faut-il sept vétérinaires ? Est-on en train de parler de quarante ou de seulement trois passages de contrôle en plus ? La différence est notable. Ce nombre de postes est-il suffisant à terme compte tenu de la dimension du problème, sur laquelle vous allez nous éclairer, ou en faut-il bien davantage et beaucoup plus rapidement ?

Le président et moi-même, nous sommes tous les deux membres de la commission des finances et il est un sujet qui nous tient à coeur : l'incidence budgétaire majeure du Brexit sur vos crédits. Comment avez-vous anticipé l'impact du Brexit sur les budgets 2019 et 2020, sachant qu'une construction sera a priori nécessaire pour arriver à des contrôles aboutis au 1er janvier 2021 si l'Union européenne et le Royaume-Uni n'ont pas noué une relation future qui exclurait les contrôles sanitaires, ce qui semble peu probable ?

Nous venons d'auditionner Mme Céline Gauer, secrétaire générale adjointe de la Commission européenne, chargée de la coordination des politiques. Elle nous a indiqué que l'absence d'un accord aurait des répercussions particulièrement sévères sur certains secteurs de notre agriculture. Avez-vous identifié ces secteurs ? Si c'est le cas, avez-vous pensé à des mécanismes de soutien, au moins temporaires, pendant cette période difficile ?

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