Ce sous-amendement vise à rétablir la fraction de la taxe sur les transactions financières dont bénéficiait l'Agence française du développement. Nous avons défendu cette idée en première lecture. Ce financement nous paraît tout à fait approprié à la mission de l'AFD, d'autant que le Président de la République s'est engagé à porter l'aide publique au développement à 0,55 % du revenu national brut d'ici à 2022. La baisse de la part de la taxe affectée à l'AFD est un mauvais signal en matière de solidarité internationale. Nous souhaitons qu'en la matière, les actes suivent.