Il me semble qu'à cette heure tardive, le débat est totalement déconnecté de ce que devraient être nos enjeux prioritaires. Nous parlons de prélèvements sur les entreprises en faveur de stratégies collectives de rayonnement très intéressantes certes, mais qui n'ont pas à être financées par l'impôt. Nous tournons un peu en rond. J'espère, monsieur le président, que nous allons pouvoir avancer plus rapidement au vu de l'heure tardive et des 590 amendements que nous devons encore examiner.