Il serait préférable de parler des handicaps plutôt que du handicap, car les AESH doivent gérer des handicaps qui n'ont rien à voir les uns avec les autres. On n'imagine pas la difficulté pour les jeunes concernés et les personnes qui sont confrontés à des situations très différentes et impossibles à gérer.
J'ai noté une petite contradiction dans vos propos, monsieur le ministre. Vous affirmez que, grâce à vous, tout va commencer et, dans le même temps, vous reconnaissez que, par le passé, toutes les oppositions se sont entendues pour faire avancer la cause du handicap. Il faut s'en tenir à l'idée saine selon laquelle nous essayons tous de faire progresser la cause du handicap. Ce n'est pas aujourd'hui que les choses commencent, me semble-t-il.