Intervention de Jean-Michel Blanquer

Séance en hémicycle du vendredi 15 février 2019 à 21h30
Pour une école de la confiance — Article 1er bis a

Jean-Michel Blanquer, ministre de l'éducation nationale et de la jeunesse :

À la fin de ces débats, je souhaite vous faire part de ma gratitude, non seulement parce qu'il est tard, mais aussi pour la qualité des travaux, pour le respect qui a présidé à nos échanges. Je pense que ce fut une semaine très intéressante sur le fond, même si nous aurions pu débattre encore beaucoup plus tant les questions sont importantes.

Je remercie les présidents de séance, qui ont permis la bonne tenue de nos débats – nous l'avons encore bien vu aujourd'hui, monsieur le président Le Fur – , les rapporteures Anne-Christine Lang et Fanette Charvier avec qui nous avons beaucoup travaillé pour préparer ce texte, le président de la commission, Bruno Studer – merci, monsieur le président – , tous les députés qui ont participé aux débats et contribué aux travaux qui ont été considérables en amont, l'ensemble des services de l'Assemblée nationale, notamment les administrateurs qui ont travaillé sur le projet de loi, les conseillers de tous les groupes politiques, qui épaulent les députés au quotidien, et les personnels qui sont là ce soir. Je les remercie vivement.

Je veux également remercier les services du ministère, qui accomplissent dans l'ombre un travail exceptionnel et que je suis toujours fier de citer. En cette heure tardive, vous me pardonnerez de ne pas développer tous ces sigles : il s'agit de la DNE, de la DREIC, de la DEPP, de la DGESIP, de la DAF, de la DGRH, de la DGESCO, du secrétariat général et de la DAJ. Derrière ces sigles, il y a des hommes et des femmes qui travaillent remarquablement bien au service du ministère de l'éducation nationale, et je suis fier de cette maison – tout comme des débats que nous avons eus devant votre assemblée.

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