Sans ces garanties, l'aventure est totale, et nous la refusons.
Il faut penser une autre mondialisation pour résoudre les problèmes non seulement climatiques – évoqués à de nombreuses reprises – mais aussi alimentaires. Il y a trois jours, la FAO – l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture – a publié son bilan : pour la quatrième année consécutive, la faim progresse dans le monde ; 2 milliards de personnes sont en situation d'insécurité alimentaire et 821 millions sont sous-alimentées, dont 15 % d'enfants.