Intervention de Julien Dive

Réunion du mercredi 27 novembre 2019 à 9h35
Commission des affaires culturelles et de l'éducation

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJulien Dive :

Certains diront que je ne suis pas objectif, puisque je suis député de l'Aisne, donc voisin de votre rapporteur. Mais, même si je ne suis pas membre de votre commission, je tenais à apporter, à titre personnel, mon soutien à cette proposition de loi qui a fait ses preuves dans notre département. Comme beaucoup d'entre vous, je me suis d'abord interrogé sur le rôle des auto-écoles et sur la concurrence que le dispositif pouvait éventuellement instaurer – j'en avais en effet discuté avec beaucoup d'entre elles. Mais le retour d'expérience a montré que les auto-écoles, comme les collectivités, sont parties prenantes du projet, lequel fonctionne bien.

Ma deuxième interrogation concernait l'apprentissage du code par les lycéens en situation de handicap, notamment ceux atteints de troubles « dys » : dyslexie, dysphasie dysorthographie… Là encore, mes doutes ont été dissipés, puisque j'ai discuté, cette semaine encore, avec le président de l'association Dys'Aisne de notre département, qui a travaillé avec une auto-école agréée pour enseigner le code à ces élèves atteints de troubles « dys ». Ils sont donc, eux aussi, parties prenantes. Ce projet est une initiative de bon sens qui mérite d'être soutenue.

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