Cher collègue, le huis clos a été demandé par le ministère des armées, afin que l'amiral puisse s'exprimer plus librement et pour faciliter notre débat en amont. À cette heure et à ce jour, nous ne pouvions faire plus que de vous présenter le point de vue de la DRH et, cet après-midi, celui du conseil supérieur de la fonction militaire. Cela nous fournira d'utiles éléments, d'ici demain ou après-demain, pour éventuellement amender le texte. On ne pouvait pas faire plus dans le temps imparti malgré notre volonté d'être à l'écoute et à la disposition de nos militaires.