« Se retrouver expulsée de son dernier espace de quiétude, en plein procès des attentats de 2015, c'est lourd à porter, c'est très violent, mais c'est surtout un signal qui devrait nous alerter sur le désastre en cours » : cette citation glaçante, je l'emprunte à une femme que la représentation nationale s'honorerait à saluer comme toutes les victimes de harcèlement terrorisant. Cette femme, c'est Marika Bret, directrice des ressources humaines de Charlie Hebdo.