Même avis. J'ai travaillé à cette question avec l'Union fédérale des consommateurs, l'UFC-Que choisir, qui aurait également préféré un droit opposable. Au quotidien, la différence avec un service universel serait pourtant mince.
Le Gouvernement, appuyé par les collectivités, par les opérateurs et par l'ARCEP, a pris des engagements majeurs en matière de couverture. Il existe un service universel ; nous nous sommes engagés à ce qu'il couvre 100 % de la fibre d'ici à 2025, ce qui sera un cas unique en Europe. Du point de vue du consommateur, encore une fois, cela suffit amplement. La création d'un droit opposable en plus du service universel constituerait une redondance.