Intervention de Raphaël Gérard

Séance en hémicycle du vendredi 6 novembre 2020 à 9h00
Projet de loi de finances pour 2021 — Mission culture (état b)

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaRaphaël Gérard :

J'insiste sur le fait que, derrière les salaires, il y a des compétences, et je vois difficilement comment concevoir un chantier sans les compétences qui vont avec et qui sont employées au bon endroit. Et je confirme ce qu'a dit la ministre : à l'époque, Franck Riester, avait été extrêmement clair.

Certes, le risque est de perdre la confiance des donateurs, mais cette confiance ne se consolidera que grâce à la compétence des personnes à la manoeuvre pour faire avancer le chantier ; sans ces compétences, nous ne pourrons pas tenir les délais.

Prenons l'exemple de l'échafaudage et des procédés qu'il a fallu développer pour le démonter, ce qui était la condition sine qua non pour démarrer le chantier de consolidation de l'édifice à proprement parler. Cela a requis des compétences sans lesquelles nous n'en serions pas où nous en sommes aujourd'hui.

Je ne vois donc pas comment il est possible de distinguer entre les différents salaires, et les intégrer en totalité dans le budget de l'établissement public me paraît une bonne mesure.

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