Je suis évidemment d'accord sur le fait que les mesures de réparation sont utiles pour la victime, certes, mais avant tout pour l'enfant. C'est un postulat, voire un principe auquel je suis attaché.
Vous me parlez des victimes mineures. Soit. Mais, en l'occurrence, il est question ici des décisions prises à l'encontre des mineurs mis en cause, sauf au civil – où ils ne peuvent l'être formellement – , champ exclu de ce débat dont on voit ainsi la pauvreté, puisqu'il est malheureusement cantonné au pénal.