Les amendements de Jean Lassalle pour ce dossier

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Monsieur le président, je vous prie de m'excuser pour mon intervention à l'article 1er A, où, en effet, ne figurait pas mon amendement, mais on m'a demandé de le défendre coûte que coûte. Vous m'avez compris, je vous remercie : vous êtes même un des très rares à me comprendre.

Monsieur le garde des sceaux, contrairement à ce qu'a affirmé le président d'un groupe que j'aime tant, surtout que nous l'avons sauvé in extremis, je n'ai jamais voulu prendre la place du premier garde des sceaux, ministre de la justice, que nous ayons depuis trente ans. Soyez rassuré. D'ailleurs, je n'ai envie de ne prendre la place d'aucun m...

J'ai du reste un grand respect pour vous et même un peu d'amitié, alors que je ne vous connais pas du tout, mais c'est pour ce que vous faites. Monsieur le président, je ne voudrais pas oublier l'amitié que j'ai pour vous, ainsi que pour le rapporteur et l'ensemble des collègues ici présents. Si quelqu'un, ici, avait lu mon magnifique livre Au...

et dont je ne vois pas ce qu'il pourra apporter de nouveau. Il s'agissait, selon moi, de créer un nouveau CESE, assorti d'un commissariat au plan adapté à la situation actuelle. Pourquoi ?

Vous le remplissez très bien, monsieur le président, ce dont je vous félicite au nom du Parlement et du pays tout entier.

Ne pouvant pas revenir – car, demain, je pars – , je me dois toutefois de rappeler que j'ai décrit, dans le détail, ce que devrait être le nouveau CESE qui fonctionnerait avec un vrai commissaire au plan.

Je voudrais également que le CESE se consacre à l'intergénérationnel : il y a, en France, 17 millions de retraités, qui souhaitent être représentés – ils le revendiquent, même. Or ils ne le sont pas : le CESE risque dès lors d'être voué à l'échec, ainsi que le haut-commissaire au plan, et peut-être même le Président de la République !