Les amendements de Jean Lassalle pour ce dossier

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Vous le savez bien, monsieur le ministre, nos territoires ne peuvent plus attendre le renouvellement de ces concessions hydroélectriques. J'ai entendu votre réponse à Mme Battistel, ancienne présidente de l'Association nationale des élus de la montagne, l'ANEM, mais cela fait dix ans que cela dure, quels que soient les gouvernements. Les entrep...

Je veux profiter de ce débat, de ce nouveau débat, de ce énième débat pour enfoncer le clou, parce que nous devons obtenir une réponse sur le renouvellement des concessions hydroélectriques. J'ai bien entendu les engagements que semble avoir pris M. le ministre. Vous-même, monsieur le président, en avez pris, en affirmant que je serai associé ...

J'ai le droit de parler deux minutes, monsieur le président ! Il ne faut pas me gronder à chaque fois !

Alors, ça va ! Laissez-moi finir mon intervention paisiblement. Dans cette vallée, l'une des plus enclavées de France, les collectivités ne peuvent pas vivre sans perception. On nous a dit, en guise de cerise sur le gâteau, que nous ne trouverions jamais personne pour travailler dans cette perception toute neuve, qui a coûté 500 000 euros il y...

J'en appelle ce soir à un cessez-le-feu, puisque M. Darmanin compte examiner le cas de la perception, toute neuve et indispensable, de Bedous, la plus éloignée de France, qui ne doit pas susciter tant de réactions. Vous m'avez également promis, monsieur le ministre, et j'en suis heureux, de vous occuper des concessions hydroélectriques, qui do...

Je lance donc cet appel, monsieur le président, vous qui m'avez trouvé sympa, aujourd'hui. Il faut rouvrir la perception de Bedous, et remettre en route la station d'Artouste-Fabrèges et la concession hydraulique. Je vous en remercie.

Dans ma recherche de solutions, j'ai cité tout à l'heure quelques uns des pays majeurs de l'Union européenne, qui pourraient nous aider à atteindre notre objectif de faire rentrer de l'argent en le trouvant chez ceux qui en ont beaucoup trop : je pense notamment à ces grands monstres financiers. Si, tout seul, nous aurons du mal à percevoir cet...

Il n'a donc aucune chance d'aboutir. Trouver un ministre aussi peu adapté à la situation, il faut le faire ! J'ai été assis pendant deux heures à côté de lui, qui n'avait rien à dire et ne comprenait rien. C'est dire si je préfère votre compagnie à la sienne.

Peu importe… Deuxièmement, pour s'attacher la participation des maires, il faut leur promettre de sortir de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République, dite loi NOTRe. À cette condition, nous pourrons peut-être faire du bon travail, d'autant que je pourrai alors vous donner un coup de main. Je vous remercie de votre éc...

Je ne pensais pas que mes interventions vous faisaient autant plaisir, mes chers collègues. Pour aider le Président à s'en sortir – ce n'est pas gagné – , je tiens à sa disposition une liste de députés du groupe La République en marche qui m'ont semblé très bien gérer l'affaire. Ce n'est pas la peine de la transmettre au Président de la Républ...

Pour éclairer notre route, monsieur le président, vous avez dit que nous en aurions au moins jusqu'à quatre heures du matin. Mais, voyez-vous, s'il y avait une chance de relancer l'agriculture, ce sont trois mois qui seraient nécessaires ! Vous faites ce que vous pouvez, et vous le faites excellemment, comme M. le ministre. Le seul problème, c...

Je vous remercie, monsieur le président, de m'avoir laissé parler si sereinement et je vous remercie, monsieur le ministre, d'avoir eu la délicatesse de me répondre. C'est très important. Lorsqu'on ne dispose pas de grand-chose, que l'on réponde, au moins, et c'est formidable de le faire ! De ce point de vue, tous vos collègues ne sont pas logé...

Je reprendrai à mon compte tous les arguments que vient de présenter Michel Castellani – je ne sais pas si vous l'avez écouté, mais moi, oui – , ce qui m'évitera de les répéter. Je ne comprends pas comment M. le Président de la République peut laisser ainsi passer son crédit politique – un crédit exceptionnel, qu'au cours de ma longue vie d'él...

Comment se fait-il qu'un homme aussi brillant et intelligent, que des millions ont été à suivre et sur le nom duquel vous avez été des centaines à vous faire élire, ne bouge pas pour redonner à la France un espace politique et financier digne de ce nom ? Pourquoi ne pas avoir immédiatement engagé un grand projet en matière d'énergie solaire ? D...

Je conclus. Il est vraiment dommage que le Président de la République se retrouve au niveau de Sarkozy et de Hollande, alors que l'on ferme les maternités à tour de bras, que 60 % des familles commencent le mois avec un budget à découvert et qu'il n'y a plus moyen de construire un kilomètre de route ou de réseau d'eau.

Je ne veux pas jouer les Cassandre, mais je vous le dis, mes chers collègues : ouvrons les yeux !

Et comme vous m'annoncerez bientôt que mon temps de parole est écoulé, madame la présidente, je vais me contenter de quelques formules à l'emporte-pièce…

D'abord, je tiens à dire que je suis parfaitement d'accord avec notre collègue Reiss lorsqu'il évoque la brutalité avec laquelle les préfets s'adressent désormais à nos maires. Je sais, monsieur le ministre, que vous n'y êtes pour rien, parce que vous savez vous-même ce que c'est – vous m'avez naguère accompagné dans les rues de Roubaix…

C'est extraordinaire : je n'avais jamais vu une telle manière de traiter les maires. Ensuite, je reviens sur une question lancinante : comme notre Président peut-il pratiquer ce surplace tragique et pathétique ? Pendant la campagne pour l'élection présidentielle – je l'ai bien entendu, j'étais son voisin à la télévision – , il disait et répéta...