Les amendements de Jean-Paul Lecoq pour ce dossier

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Monsieur Laqhila, je n'étais pas dans l'hémicycle quand vous avez présenté votre rapport, mais je vous ai entendu dire que tous les signaux étaient au rouge. C'était également le sens de l'appel de Grigny ! Ici, on parle souvent de clivages, mais si vous-même n'étiez peut-être pas à Grigny, toutes les tendances politiques dignes – je vais le di...

J'étais aussi, à l'époque, conseiller régional, et j'ai siégé avec des conseillers régionaux du Front national. Or le Front national rejetait déjà les crédits de la politique de la ville – en l'occurrence, de sa part régionale – avant qu'on ait pu constater un quelconque échec. Pour ces conseillers régionaux, la musique qu'on fait dans ces quar...

C'est toujours la même chose, mais aujourd'hui vous avancez masqués : vous n'osez pas dire ce que vous pensez en réalité. Aujourd'hui, il faut renforcer à la fois les moyens consacrés au logement – nous ne disons pas le contraire – et ceux consacrés à la politique de la ville.

Il faut que les jeunes de ces quartiers soient fiers d'y habiter, parce qu'il s'y passe des choses extraordinaires. Il faut qu'ils puissent être embauchés, justement parce qu'ils habitent dans ces quartiers, et pour cela il faut changer de paradigme.

Il est vrai que le principe même de l'exercice, qui veut que l'on ne puisse affecter de nouveaux crédits à telle action ou tel programme qu'à condition d'en retirer ailleurs, conduit à ce genre de choses. Business France, pourquoi pas ? Stéphane Peu l'a rappelé : quand il y avait urgence – en l'occurrence, pour rembourser les 10 milliards dus à...