Les amendements de Michèle Victory pour ce dossier

5 interventions trouvées.

Il serait préférable de parler des handicaps plutôt que du handicap, car les AESH doivent gérer des handicaps qui n'ont rien à voir les uns avec les autres. On n'imagine pas la difficulté pour les jeunes concernés et les personnes qui sont confrontés à des situations très différentes et impossibles à gérer. J'ai noté une petite contradiction d...

Les intentions sont louables, mais elles ne sont pas à la mesure des difficultés sur le terrain qui sont bien plus grandes. Le PPS est bienvenu, mais les personnels sont-ils capables de prendre en charge les difficultés ? Le passage de structures spécialisées vers l'école est vraiment compliqué. Plutôt que de multiplier les structures, il sera...

Les troubles « dys » sont peut-être encore plus difficiles à prendre en considération que le handicap ou les handicaps. Pour avoir enseigné en collège et au lycée, je peux vous dire que la situation est devenue explosive et très embêtante, car les difficultés liées aux troubles « dys » concernent un grand nombre d'élèves, six à sept sur une cla...

Je voudrais bien que les collègues nous disent ce qu'ils entendent par un vrai plan ! Les enseignants consacrent déjà un nombre d'heures incroyable à examiner les différentes possibilités, faire des diagnostics, proposer des évaluations spécifiques pour essayer de trouver des solutions. Les enseignants ont aussi besoin de temps pour enseigner !...

Nous évoquerons en effet plus loin les questions de formation, qui sont essentielles. Il n'est peut-être pas très politiquement correct de le rappeler, mais les enseignants ne sont pas des soignants : comme le ministre l'a souligné, ils doivent travailler en équipe pour que les compétences de chacun puissent être utilisées au profit de la comm...