Les amendements de Naïma Moutchou pour ce dossier

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Je ne prendrai pas la liberté de commenter le cas Benalla, comme certains d'entre vous le font. Je considère, à ce stade, que je n'en ai pas personnellement les moyens. En tout cas, la presse, qui joue son rôle – c'est bien normal – ne doit ni dicter à l'Assemblée son rythme de travail, ni prononcer la sentence finale. Je vais plutôt vous parle...

J'en veux pour preuve que la commission d'enquête, qui s'est mise au travail, a obtenu un certain nombre d'accords. Nous pourrions avancer sur cette base : rien ne nous en empêche, sauf s'il s'agit de bloquer, de paralyser le fonctionnement de nos institutions et du travail parlementaire, pour le plaisir de bloquer.

Évidemment, ce n'est pas sérieux. Comme l'a dit mon collègue Lagarde, cessons le ridicule. J'en appelle à la responsabilité de chacun. Bien sûr, il y a des dysfonctionnements dans notre manière de travailler, et la réforme constitutionnelle est l'occasion de les réparer…