Les amendements de Nicolas Turquois pour ce dossier

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En première lecture, j'avais affirmé la nécessité de la révision de la gouvernance des coopératives ou, à tout le moins, de certaines d'entre elles, dont la taille est source d'efficacité mais aussi d'éloignement pour les agriculteurs coopérateurs. Je souscris à l'argumentaire de M. Potier et de M. Garot, que j'ai écoutés avec attention. En eff...

Je voudrais réagir aux propos de M. Ruffin, parce qu'il est bien que des représentants des différentes professions et sensibilités apporte de l'expertise et des regards particuliers. C'est la diversité de nos origines qui permettra d'atteindre le résultat le plus neutre possible. Voilà pourquoi, je reviens sur le choix des ordonnances. Alors q...

Je voudrais m'exprimer sur le sujet des coopératives afin tout d'abord de saluer la volonté du Gouvernement de réfléchir à un toilettage de leur statut. Comme l'a dit Mme Limon, elles structurent notre territoire et ont beaucoup apporté aux agriculteurs. Cependant, là où, du temps de mes grands-parents, elles couvraient un canton, et là où, du ...

Monsieur Jacob, je sais que vous avez été agriculteur, mais je ne sais pas depuis combien de temps vous n'êtes plus dans une coopérative. Or les coopératives ont beaucoup évolué. Je suis moi-même coopérateur dans une coopérative qui se trouvait initialement dans le nord de la Vienne et qui englobe maintenant tout le quart nord-ouest – vous en t...

Mon père, en cas de problème, allait voir le président de la coopérative, dans le cadre d'une relation d'homme à homme qui reposait sur la confiance ; désormais, on ne le connaît plus.

Je ne le dis pas pour dénoncer les coopératives, qu'il faut réinventer pour en rapprocher les producteurs et leur permettre de reprendre la main. Vous avez parlé de Lactalis ; on pourrait aussi parler de la coopérative Sodiaal, qui s'est un peu éloignée de ses propres coopérateurs. Aujourd'hui, la nomination au conseil d'administration – même ...

Autre élément : la question des parts sociales et du capital est en effet essentielle, mais certaines exploitations en possèdent aujourd'hui plusieurs dizaines de milliers d'euros. Face aux montants capitalisés, certains agriculteurs, dans mon voisinage, ont du mal à intégrer le système coopératif. Il faut donc favoriser l'entrée en coopérative...