Les amendements de Patricia Mirallès pour ce dossier

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Madame la ministre de la transformation et de la fonction publiques, depuis 2017, notre majorité mène une politique ambitieuse de rénovation de la rémunération des fonctionnaires civils et militaires qui ne reçoit pas l'attention médiatique qu'elle mérite. Avec le Ségur de la santé, nous avons augmenté le traitement indiciaire des soignants de...

Madame la secrétaire d'État auprès de la ministre des armées, 549, c'est le nombre de militaires, dont 2 femmes, dont les noms sont inscrits sur le monument dédié aux soldats morts pour la France en opérations extérieures, inauguré hier par le Président de la République. Dans un jardin voulu ouvert, le monument est constitué d'une sculpture de ...

… et dont la construction a également été voulue par François Hollande, Emmanuel Macron a permis à la France de régler une dette d'honneur, dans la continuité républicaine qui fait la force de notre nation. Nos morts vivront tant qu'il y aura des vivants pour penser à eux. Mes remerciements sincères et appuyés vont à Mme la ministre Florence Pa...

pour ses frères d'armes et pour les quatre militaires morts pour la France cette année. Madame la secrétaire d'État, pouvez-vous nous confirmer le choix du Gouvernement de faire du 11 novembre le jour d'hommage à nos soldats morts pour la France en opérations extérieures, conformément à la loi du 28 février 2012 ?

Ma question, à laquelle je souhaite associer mes collègues Nicolas Démoulin et Patrick Vignal, s'adresse à M. le ministre d'État, ministre de l'intérieur. Voilà quasiment deux mois que la ville de Montpellier est sous tension.

Après l'expulsion d'étudiants de la faculté de droit par des individus encagoulés et le sabotage des serveurs informatiques de la faculté Paul-Valéry, Montpellier a été une nouvelle fois victime d'actes inqualifiables. Ce samedi 14 avril, dans le cadre d'une manifestation dont le parcours n'avait pas été préalablement déclaré, 200 individus au...

Sur les réseaux sociaux, d'autres parlementaires se sont satisfaits de ces manifestations sans en dénoncer ni la violence inouïe ni les dérapages abjects.

Non, les forces de l'ordre ne cherchent pas à favoriser la violence. Non, « cela ne fait pas du bien à un commerçant », pour reprendre les mots utilisés sur les réseaux sociaux, de perdre en une fraction de seconde le fruit de ses efforts et de son travail. Non, le droit de manifester n'est pas le droit de saccager.

Ma question est donc simple, monsieur le ministre : quelles seront les réponses apportées aux actes inqualifiables dont les Montpelliérains ont été victimes samedi dernier ?