Les amendements de Sébastien Chenu pour ce dossier

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Il mérite notre attention, car il touche aux fondements même de ce que nous sommes. Au moment où le Gouvernement rabote le modèle social, où le forfait hospitalier augmente, où la contribution sociale généralisée – CSG – est relevée, où la prestation d'accueil du jeune enfant – PAJE – diminue, cet amendement vise à retirer les prestations socia...

Elle permet de responsabiliser ces familles, car une famille dont un enfant est condamné pour terrorisme ou part faire le djihad ne peut pas solliciter la solidarité des Français. C'est complètement incompréhensible ! Aussi, nous vous demandons de permettre l'abrogation de ces allocations à ceux qui sont condamnés pour terrorisme. Notre rôle e...

Nous avons déposé ces amendements. Nous pouvons répondre à la commission et au Gouvernement, cela me semble être de droit.

Cet amendement vise tout simplement à mettre l'article 14 en conformité avec l'annexe 10 du PLFSS. On peut y lire en effet, à la page 180, que les taux Lv et Lh « reprennent ceux retenus dans la LFSS pour 2017 ». Or le taux Lh, dont nous parlons ici, était fixé l'an dernier à 2 %. La hausse de ce taux nous semble donc aujourd'hui peu opportune....

On nous parle de morale : un peu de décence, chers collègues, s'il vous plaît ! La morale n'est pas du côté de ceux qui défendent que l'on puisse continuer à subventionner des personnes partant faire le djihad avec l'argent des Français.

La morale n'est pas de ce côté là. Il ne s'agit pas d'un amendement de prévention mais d'un amendement moral. Les Français n'acceptent pas que leur argent soit utilisé pour cela.

Comme l'a déjà dit Jean-Pierre Door, cet amendement vise à conforter l'usage des médicaments génériques et donc à préserver l'un des maillons indispensables de la chaîne du médicament, celui des grossistes répartiteurs. Nous proposons donc de supprimer les médicaments génériques de l'assiette de la taxe sur le chiffre d'affaires des distributeu...

Nous considérons, et c'est l'une de nos propositions phares, que la solidarité nationale doit s'appliquer principalement aux citoyens français. C'est ainsi que nous concevons les choses : nous préférons faire bénéficier en priorité les citoyens français, nos compatriotes, de la solidarité nationale. Ce n'est pas une nouveauté. Cet amendement v...

S'il s'agit d'ouvrir un débat sur la préférence nationale, monsieur le rapporteur, nous sommes prêts, prêts à faire valoir nos arguments et à confronter nos positions. Quant aux excès de M. Coquerel, bien connus dans cet hémicycle, je n'y répondrai pas – ils font suffisamment sourire la représentation nationale chaque semaine pour que l'on n'y ...

Ce serait faire trop d'honneur à quelqu'un dont l'obsession est de renverser le Gouvernement. Nous, notre obsession, c'est de défendre les Français !

Je demande un rappel au règlement pour fait personnel. Je trouve absolument hallucinant qu'un collègue prenne la parole, utilise du temps de parole et monopolise les débats simplement pour traiter notre collègue Vallaud de queue de comète. Il mérite mieux que cela ! Je ne crois pas du tout qu'il soit une queue de comète !

Ce n'est en tout cas pas comme cela que je le qualifierais si je devais prendre la parole. Mobiliser du temps de débat pour régler son compte à un collègue, je trouve cela déplacé et pas du tout dans l'esprit humaniste, centriste et tutti quanti que vous semblez prôner.

Cet amendement de bon sens vise à fixer un délai au terme duquel une personne de nationalité étrangère, qui ne travaille pas, peut bénéficier du remboursement de ses frais de santé. Il complète le critère fixé à l'article L. 160-1 du code de la sécurité sociale d'une résidence stable et régulière en France, en imposant un délai de deux ans. L...

Je ne doute pas que cet amendement fera l'unanimité. La famille des ayants droit de nationalité étrangère résidant dans le pays d'origine n'est pas couverte par le régime de sécurité sociale français, sauf s'il existe une convention particulière entre la France et le pays tiers. Conscients des grandes qualités et de la générosité de notre modèl...

Nous n'allons évidemment pas ouvrir ici de concours pour savoir qui défend le mieux la famille. Je donne crédit à chaque groupe et à chacun des parlementaires qui siègent dans cette assemblée d'avoir à coeur de défendre la famille ou les familles, ce qui n'est du reste pas vraiment le sujet du débat. Ce dont il est ici question, c'est la décon...

Une mesure de flux, nous dites-vous, madame la ministre : comme c'est joliment dit ! Mais le flux est en train de se tarir, si j'ose dire ! Non, ce n'est pas une mesure de flux : c'est une mesure politique, et c'est ainsi que vous devez l'assumer ! Rien ne trouvera donc grâce à vos yeux ! Il aura fallu que vous alliez jusqu'à la déconstruction ...

L'article 7 est la source même de la philosophie du Gouvernement. Cet article marquera durablement la politique que vous menez ; il restera dans la mémoire des Français comme particulièrement injuste – nous sommes nombreux à l'avoir dit sur ces bancs. Mais ce sparadrap souligne avant tout une philosophie. Cette philosophie s'est manifestée dès...

Bien entendu, cet article et cette disposition ne viennent pas de nulle part. En réalité, comme l'a dit notre collègue Jean-Louis Bricout tout à l'heure, tout cela répond à une logique. Le Gouvernement s'est placé dans la logique de se soumettre aux instructions et aux diktats de l'Union européenne. Pour ce faire, il faut déconstruire notre mo...

Madame la présidente, madame la ministre, monsieur le ministre, madame la présidente de la commission des affaires sociales, monsieur le rapporteur général, monsieur le rapporteur pour avis, mes chers collègues, ce premier PLFSS du « nouveau monde » réussit à conjuguer deux exploits : ne pas parler de la santé des Français et s'attaquer aux cou...

vous les blessez en les fragilisant. Hausse de la CSG, hausse du prix du tabac, baisse des crédits du Fonds d'investissement pour les victimes de l'amiante – madame la ministre, je parle d'êtres humains, ce qui me paraît important, bien que vous ne daigniez pas me regarder – , hausse du forfait hospitalier : ce sont toujours les mêmes qui trinq...