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Tout à fait !
Un hectare en dix ans !
Ce n'est pas un problème, c'est la vie !
Bienvenue à l'Assemblée, chère collègue Reid Arbelot. Je vous souhaite plein succès et beaucoup de bonheur dans cette enceinte où vous représentez la France du bout du monde – merci. Ce projet de loi d'apparence très technique vise à ratifier plusieurs ordonnances dans un délai maximal de dix-huit mois, comme l'a dit notre rapporteur, ce qui n...
Vous n'avez pas à faire ça ! C'est votre rôle, madame la présidente !
C'est urgent !
Quel article ?
Tout à fait !
La proposition de loi du groupe LIOT, rapportée par notre collègue Olivier Serva, s'attaque à une difficulté à laquelle sont confrontés nos compatriotes ultramarins : le coût de l'éloignement et des trajets entre les outre-mer et la France hexagonale. Depuis la sortie de la crise sanitaire, le coût des billets d'avion vers les outre-mer a augme...
… pour des familles dont le niveau de vie est inférieur à la moyenne nationale. Ces hausses, dont l'amplitude est difficilement justifiable, sont d'autant plus pénalisantes que de nombreux étudiants ultramarins sont contraints de se rendre dans l'Hexagone…
…s'ils souhaitent poursuivre leurs études dans des filières qui ne sont pas représentées dans leurs territoires, ou qui le sont en partie, comme c'est le cas pour les études de médecine. Si les billets d'avion deviennent inaccessibles, comment peuvent-ils revenir chez eux afin de faire bénéficier leur territoire de leur expertise et de leur dyn...
Les aides de Ladom pour partir étudier et se former dans l'Hexagone, qui ont le mérite d'exister, sont nombreuses et bien connues, contrairement aux aides pour revenir dans les territoires. La proposition de loi remédie à cette carence. Même si elle n'aborde pas la question très sensible du fret,…
…je souhaite l'évoquer. Certaines importations demeurent indispensables pour nos territoires du Pacifique, de l'océan Indien et des Caraïbes. Leur coût ne doit pas être disproportionné ; il faudra y veiller. C'est un chantier de plus sur lequel vous devez avancer, monsieur le ministre délégué – vous avez l'habitude. Enfin, comment ne pas être ...
Tout à fait !
N'oublions pas le texte de M. Molac sur la Bretagne !
Madame la Première ministre, une très grave crise de la construction de logement est devant nous.
Vous étiez hier devant les professionnels de l'immobilier et de la construction. Je ne vous apprends rien : vos propos ont suscité une forte déception.
Et cette déception est partagée par tous, de la Fondation Abbé Pierre aux artisans de la Fédération française du bâtiment, en passant par le monde HLM. Vos propositions ne sont pas du tout à la hauteur de la crise violente qui touche ce secteur. En supprimant le dispositif Pinel, vous tuez l'investissement locatif privé ; en supprimant le prêt ...
En multipliant les normes et en réduisant les aides, vous interdisez l'accès à la propriété aux classes moyennes. Ce faisant, vous organisez leur déclassement, la propriété de leur résidence étant bien souvent une sécurité pour leurs vieux jours. Je vous rappelle que 90 % des Français aspirent à vivre dans une maison individuelle. Écoutez-nous...
Le président de notre groupe, Olivier Marleix, vous l'a déjà demandé mardi dernier : adoptez un moratoire sur l'objectif zéro artificialisation nette, le fameux ZAN.