Les amendements de Guillaume Chevrollier pour ce dossier

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Monsieur le ministre de l’agriculture, la crise agricole n’est pas derrière nous, loin s’en faut, et ce n’est pas polémiquer que de constater que la situation demeure insupportable pour nos agriculteurs, en particulier pour nos producteurs de porcs, de lait et de viande bovine. Le plan d’urgence de l’été dernier semble avoir eu peu d’effets su...

Quand une laiterie rachète 1 000 litres de lait 265 euros en ce début 2016 contre 330 euros en 2015 et 374 euros en 2014, un éleveur laitier peut-il continuer ?

Or, ces baisses des prix ne se répercutent pas sur les consommateurs, et l’opacité de la répartition des marges tout au long des filières est encore prégnante. Que faites-vous pour que le label Viande de France ait un réel effet auprès du consommateur français ?

Monsieur le ministre, vous avez déclaré, hier, dans cet hémicycle, qu’il fallait « donner de l’espoir aux filières par la contractualisation, par l’engagement de structurations ». Je suis d’accord, mais passez aux actes ! Les éleveurs français paient très cher la désorganisation, l’excès de normes et de contraintes, la concurrence et les effe...