Interventions sur "peuple"

17 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBertrand Pancher :

...our dire à nos concitoyens inquiets que cette réforme injuste n'est pas une fatalité et qu'un autre chemin est possible, dont les corps intermédiaires et les parlementaires sont prêts à discuter ensemble. Nous l'avons déposée pour dire à nos concitoyens qui ne croient plus en leurs représentants qu'il existe encore des élus qui veulent exercer leur mandat et faire leur travail : porter la voix du peuple.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaThomas Ménagé :

Avec Marine Le Pen présidente, nous respecterons l'esprit de la Constitution du général de Gaulle en redonnant au Parlement le pouvoir de voter la loi, et au peuple celui de s'exprimer par la voie du référendum.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaThomas Ménagé :

Chers collègues, ce rendez-vous manqué ne favorisera pas l'extinction de la colère sociale. Si vous n'avez pas peur du vote, alors laissez-nous voter ! Et si vous ne redonnez pas le pouvoir aux élus de la nation, nous le rendrons au peuple en 2027 !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaClémentine Autain :

À quel extrémisme en êtes-vous réduits pour camoufler votre forfaiture ? Afin d'écraser le choix du peuple et de ses représentants, vous avez fait les poubelles de la Ve République !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaClémentine Autain :

Quand les représentants du peuple sont privés de vote, et par conséquent de leur prérogative : faire et défaire la loi ? Où est la démocratie, surtout, lorsque le point de vue majoritaire est nié, piétiné, écrasé ? C'est pourquoi nous réaffirmons avec force notre détermination à abroger votre loi, qui abîme la vie concrète, matérielle, sensible, de millions de nos concitoyens ,…

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPhilippe Vigier :

…ni celle du Conseil constitutionnel. Cessez donc de mentir, de donner au peuple de faux espoirs ! Les membres du groupe LIOT, malheureusement, ne sont pas en nombre pour m'entendre, mais j'aperçois sur les bancs des commissions le rapporteur du texte, Charles de Courson, qui m'a formé – Charles de Courson, qui prônait une retraite à taux plein à l'âge de 65 ans

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBoris Vallaud :

au mépris de la séparation des pouvoirs et, en définitive, en machine à trahir le peuple. Le parlementarisme rationalisé nous entravait ; avec vous, le parlementarisme caporalisé nous asservit.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSandrine Rousseau :

…vous avez répondu en envoyant des policiers qui tiraient au lanceur de balles de défense (LBD) à hauteur de visage. Le sang, les larmes, les yeux perdus sont alors devenus quotidiens. Lorsque vous avez transformé cela en un grand débat qui n'était en fait qu'une mise en scène grotesque d'un dirigeant seul face au peuple, nous avons eu honte. Lorsque les lycéens ont protesté contre la réforme de l'éducation nationale, vous les avez agenouillés, mains sur la tête, entourés de policiers ; nous nous sommes alors offusqués.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSandrine Rousseau :

...cret d'un Conseil de défense. Vous avez publié des décrets d'exception, déclaré des états d'urgence sanitaire sans la démocratie ; nous avons concédé en renonçant, au nom de la préservation de notre santé, à des espaces de liberté démocratique et citoyenne. Lorsque la réforme des retraites est arrivée, vous avez tenté de nous convaincre qu'un homme, toujours seul, savait ce qui était bon pour le peuple – mieux que tous les syndicats unis et représentatifs de ce pays, mieux que le peuple lui-même. Vous avez dit que le Président avait fixé un cap, qu'il fallait le suivre, peu importe le rejet massif du texte ; nous avons alors battu le pavé. Quand le texte est arrivé à l'Assemblée, que les députés ont fait savoir qu'ils ne vous suivraient pas, qu'ils ne voteraient pas, vous avez sorti le 49.3 com...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSandrine Rousseau :

...ais cette crise-là n'est qu'un début. Ce qui arrive est bien pire : la crise écologique et sociale éprouvera l'édifice et la structure de notre société. Ce que vous nous vendez, c'est l'idée qu'un régime autoritaire sera seul à même de gérer ce qui vient. Alors je prends les mots de Victor Hugo : « Ce que je viens faire ici ? Je viens être terrible. Je suis un monstre, dites vous. Non, je suis le peuple. Je suis une exception ? Non, je suis tout le monde. L'exception, c'est vous. » Ces mots sont tirés de L'Homme qui rit.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSandrine Rousseau :

Le peuple français aujourd'hui ne rit pas du tout, mais cela ne saurait durer. Nous sommes là, en défense de cette démocratie.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPierre Dharréville :

...û prendre acte que sa réforme n'avait pas l'assentiment du pays. On ne triche pas impunément avec la République. Cet acharnement est en train d'abîmer la confiance dans la République, que nous chérissons avec ses valeurs révolutionnaires, et dont les derniers épisodes nous montrent à quel point elle doit être transformée. J'éprouve un profond sentiment de révolte parce qu'avec moi, c'est tout un peuple que cette majorité essaye de faire renoncer. Quand on prend le Parlement pour un paillasson, c'est sur le peuple qu'on s'essuie les pieds.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPierre Dharréville :

Nous sommes inquiets parce que ces choix, ces comportements peuvent nourrir les réactions antirépublicaines ; l'extrême droite menaçante essaye d'en profiter pour tromper le peuple. Mais quelque chose est né. C'est une bataille de longue haleine qui est engagée contre les forces de l'argent, prêtes à abîmer beaucoup de choses pour arriver à leurs fins. Ce que le peuple a fait, ce qui a été dit, change la donne. Ce dont il rêve, nous voulons le mettre à l'ordre du jour, avec lui. Tel est le sens de notre présence, dans ce moment qui n'a pas de sens ! Cette bataille politiq...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPaul-André Colombani :

...rions souhaité une autre méthode. Si vous aviez accepté de faire des compromis, vous auriez pu trouver un vrai chemin démocratique. Une chose est certaine, nous ne pouvons pas continuer ainsi. Alors, je le dis clairement au Gouvernement : en politique, il n'est jamais trop tard. Il n'est jamais trop tard pour éviter une crise de régime et redonner toute sa place au Parlement et à l'expression du peuple. Il est encore temps de saisir la main que nous vous tendons, celle du dialogue, de l'apaisement et du respect de la démocratie.