Interventions sur "référence"

4 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaCharles Fournier :

...ast fashion. Il faut s'attaquer aux pratiques de Shein et de Temu, mais également à celles de Zara, d'H&M, de Kiabi ou de Decathlon. Le groupe Écologiste défendra des amendements visant à inclure les places de marchés dans le périmètre du texte afin qu'elles soient soumises aux mêmes règles que les autres entreprises et à pénaliser toutes les enseignes qui mettent sur le marché plus de 10 000 références par an. Il soutiendra également le principe d'un malus infligé selon les résultats obtenus dans le cadre de l'affichage environnemental. La deuxième condition est de s'assurer que les outils que nous proposons soient utilisés et incitatifs : la filière peut déjà fixer des pénalités pouvant atteindre 20 % du prix du produit, mais elle ne le fait pas. Rien ne nous dit qu'elle le fera demain. C'es...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaÉdouard Bénard :

...ependant à un futur décret la fixation des seuils à partir desquels on peut parler de « mode jetable », au risque que l'exécutif subisse des pressions de tout ordre et qu'en soit retenue une définition trop limitative. Alors que la coalition d'associations Stop fast-fashion suggère l'adoption d'un seuil de 5 000 modèles par an, nous proposerons par voie d'amendement de le fixer à 10 000 nouvelles références chaque année, de façon à ne pas nous limiter aux enseignes les plus nocives, comme celles précédemment citées, et à étendre la portée du texte à de grandes chaînes commerciales. Votre texte s'applique ensuite à renforcer la filière de responsabilité élargie du producteur du secteur des textiles d'habillement. Vous proposez en particulier de porter le bonus et le malus de contribution financière...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaHuguette Tiegna :

... consommation – de surconsommation, devrais-je dire –, car il est en rupture avec le consensus scientifique sur les enjeux liés au réchauffement climatique. La biodiversité et les individus, les acteurs de la mode durable et du recyclage, tous payent le prix de cette mode éphémère. Bien évidemment, notre majorité a déjà pris des mesures tendant à améliorer notre mode de consommation. Je fais ici référence à la loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire (Agec), adoptée en 2020. Je pense aussi à la loi portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets, dite loi climat et résilience, issue de la Convention citoyenne pour le climat, et à la loi visant à encadrer l'influence commerciale et à lutter contre les dérives des influ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMaud Gatel :

...s mettant face aux conséquences réelles de leurs achats, tout en les encourageant à une consommation locale et durable. La mode jetable aggrave l'empreinte environnementale du textile. Elle est une très grande consommatrice d'eau. À cause d'elle, des tonnes de vêtements terminent leur vie sur les plages du Ghana. Outre la surproduction qu'elle entraîne par la publication de milliers de nouvelles références chaque jour, cette pratique est aussi l'un des premiers contributeurs à la pollution plastique, donc à la destruction de la biodiversité. C'est pourquoi le groupe Démocrate défendra un amendement visant à expliciter l'application d'un malus sur les produits composés de fibres synthétiques, qui est une réécriture de l'amendement adopté en commission à l'initiative de notre collègue Jimmy Pahun. C...