Patricia Mirallès, secrétaire d'État chargée des anciens combattants et de la mémoire :
Comment expliquer que l'on veuille prélever 180 millions d'euros sur un budget qui n'en compte que 88 pour financer des dépenses que rien ne justifie ? Sur ce sujet, les comptes fantastiques percutent le tragique de l'histoire.