Je partage le propos qui vient d'être tenu. Je pense que nous n'avons pas les outils pour passer à l'échelle, en particulier sur les programmes de prévention et de réduction des risques de catastrophes dans les territoires ultramarins. Pour avoir un impact fort, il nous faudrait un guichet spécifique. C'est un plaidoyer que nous partageons avec l'AFD.
Un autre sujet est que les financements en question sont de plus en plus complexes. Ils mobilisent un volume de plus en plus important de ressources. Les procédures se complexifient d'année en année, avec des exigences de redevabilité parfois difficiles à atteindre. In fine, on parle plus d'audits que de projets et d'accompagnement. Il serait donc opportun de revenir à une forme de simplification, dans l'intérêt collectif et afin de placer nos ressources au service des projets et des populations.