Nous soutenons avec grande force la langue française. Pour que chacun et chacune puisse s'y reconnaître, l'écriture inclusive, qui porte bien son nom, doit se développer – c'est déjà le cas, et cela continuera. Elle permettra aux femmes, qui sont les plus nombreuses, de mieux se reconnaître et de ne pas être « invisibilisées » par des usages qui ne datent que de quelques siècles – je précise qu'il n'en a pas toujours été ainsi.