Vous auriez pu l'annoncer dès vingt heures !
Ça faisait longtemps !
Sérieusement, regardez les chiffres !
Vous avez du boulot !
Dérapage dû à votre gestion !
Pas plus ambitieux : plus sérieux !
Ne vous inquiétez pas, madame la présidente, il va continuer !
Il faut écouter ce qui se dit dans l'hémicycle !
Mieux vaut ne pas avoir de soutien que des soutiens comme cela !
Ce n'est pas ce que vous dites quand c'est l'opposition qui les demande !
Quelle solidarité gouvernementale !
Si nous avions voulu faire de l'obstruction, le texte n'aurait pas été adopté !
Honnêtement, c'est décevant. Je pensais que vous défendriez le texte bec et ongles. Tel n'a pas été le cas. Je peux vous garantir que, dans les jours qui viennent, vous aurez des comptes à rendre à la protection civile du Var.
Ne vous inquiétez pas, il y aura quand même un vote. Je voudrais néanmoins rappeler certaines vérités. J'ai en main une intervention rédigée, preuve que nous avions prévu d'aller au bout du texte. Malheureusement, monsieur le rapporteur, je vais devoir la jeter. J'étais parti du principe que vous vous opposeriez aux amendements de suppression du Gouvernement ; malgré ce que j'avais dit au début de la séance, j'espérais que vous défendriez le texte dans son intégralité. Vous ne l'avez pas fait. Quand nous avons été saisis par la protection civile du Var, qui a rédigé le texte de loi avec vous, elle nous a dit souhaiter que le texte soit voté tel ...
Comme par hasard !
Nous sommes censés œuvrer pour l'intérêt général, et ne pas nous enferrer dans des logiques de politique politicienne. La démarche transpartisane que vous aviez engagée s'est retrouvée enterrée lorsque vous avez retiré nos signatures de cette proposition de loi. Comment pouvez-vous affirmer agir pour l'intérêt général quand vous excluez une partie de vos collègues d'une proposition au sujet si consensuel ? Vous n'êtes pas propriétaire de ce texte : les associations de sécurité civile qui ont travaillé avec vous nous avaient expressément demandé de le cosigner. Avez-vous évoqué le retrait de nos signatures avec elles ? Non, en bon sectaire, ...
L'article 1er crée les conditions d'un engagement déontologique de la part des associations agréées de sécurité civile. Nous ne pouvons qu'approuver une telle démarche, qui permettra de fixer un cadre reposant sur les valeurs et les principes essentiels de la sécurité civile. Monsieur le rapporteur, nous nous connaissons depuis de nombreuses années et je vous parlerai donc en toute franchise. Je m'interroge sur l'opportunité de créer une charte similaire pour les parlementaires. Cela éviterait peut-être à certains d'entre eux de faire preuve de sectarisme, par exemple en retirant d'une proposition de loi des signatures qui avaient été approuvées, le ...
Excellent !
Je l'affirme : il y a du mépris lorsque vous ne dites rien sur la revalorisation des actes médicaux ou lorsque vous vous gargarisez d'avoir porté de 2,5 à 2,75 euros le montant de l'indemnité forfaitaire de déplacement !
Il a cependant omis d'évoquer le nombre hebdomadaire des jours travaillés et le nombre mensuel des heures effectuées, qui atteint bien souvent 360, ainsi que la vie de famille sacrifiée et les vacances rarissimes. Les infirmiers libéraux ont été ignorés par le Ségur. Or en réalité, contrairement à ce qu'affirme M. Valletoux, certains d'entre eux, en zone rurale, n'arrivent pas à se verser un salaire mensuel de plus de 1 400 euros. La dernière revalorisation des actes médicaux est intervenue il y a quinze ans. Les frais kilométriques sont inchangés depuis 2011. Quant à l'indemnité forfaitaire de déplacement, elle vient, enfin, d'être augmentée, ...
Madame la ministre du travail, de la santé et des solidarités, notre système de santé repose sur un pilier public, formé notamment de nos hôpitaux, et un pilier privé, composé des professionnels de santé libéraux. Le collectif des infirmiers libéraux en colère organise aujourd'hui des rassemblements en province, et ils seront nombreux à manifester, le 4 avril, devant les portes de votre ministère. Le 15 mars, Frédéric Valletoux a déclaré dans « Les grandes gueules » qu'il fallait en finir avec le misérabilisme des infirmiers libéraux. Il a ajouté, de façon provocatrice, que leur revenu moyen est de 4 000 euros, sous-entendant qu'ils seraient ...
Je ne m'adressais pas à vous, madame la présidente !
Vous savez très bien lesquels ; je n'y reviendrai pas. Le sujet est totalement hors débat et, si l'on se penchait sur le passé de certains députés de la NUPES, ils ne parleraient pas autant.
Des propos déplacés ont été tenus sur les bancs de la NUPES.
Il se fonde sur l'article 70, alinéa 3 du règlement. Je ferai vite, afin que vous ne soyez pas aigrie vendredi.
Madame la présidente, il n'est pas acceptable que l'on soit mis en cause de la sorte ! Je suis député comme lui !
C'est indigne de la gauche !
Il faut croire que ça se passe comme ça à la NUPES !
Il n'a pas mis son keffieh aujourd'hui !
Ah ! Le Conseil constitutionnel n'a pas dégagé cette disposition ?
La crise agricole majeure que traverse la France trouve largement sa source dans les décisions calamiteuses des gouvernements successifs et dans les normes désastreuses imposées par l'Union européenne. La guerre en Ukraine joue également un rôle important dans les difficultés que rencontrent nos agriculteurs. Outre les difficultés d'approvisionnement en matières premières et de la hausse du coût de production, la concurrence des volailles ukrainiennes écoulées sur le marché européen est dénoncée par les producteurs français. Elle perturbe un marché français qui a connu plusieurs crises ces dernières années et peine à retrouver des couleurs. Nous ...
C'est ridicule !
Eh oui !
Mme K/Bidi a indiqué que le groupe GDR s'abstiendra !
Cela va passer alors !
À titre personnel, non ?
Il est où, d'ailleurs, Véran ?
Bien sûr, on va vous faire confiance !
Arrêtez d'être sectaires !
Ce n'est plus le même argument !