Les amendements de Bernard Accoyer pour ce dossier

9 interventions trouvées.

Monsieur le président, nous entendons des rappels au règlement qui n'en sont pas. (Rires sur les bancs du groupe SRC.) Le déroulement de notre séance en est gravement perturbé. D'autre part, je voudrais étayer mon rappel au règlement, qui, lui, en est un, en apportant des précisions majeures à ce qu'ont annoncé nos collègues Alain Tourret, tou...

C'est précisément pour cela que nous trouvons vos applaudissements outranciers ! (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP. Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)

Effectivement, ce n'est pas le président de l'Assemblée nationale qui choisit la procédure employée, mais sa majorité, en Conférence des présidents. Il se trouve que la majorité a choisi délibérément une procédure dont on voit bien qu'elle n'est plus adaptée. Elle n'est d'ailleurs plus utilisée dans aucun parlement moderne. C'est une procédure ...

Ce n'est vous qui êtes en cause, mais la majorité et le Gouvernement ! Ils portent, là, une responsabilité considérable ! (Applaudissements sur de très nombreux bancs du groupe UMP.)

Vous pourriez faire des économies en évitant de faire siéger l'Assemblée la nuit, et les investir dans la modernisation du site !

Je voudrais dire au président Le Roux que si une autre procédure avait été choisie par la majorité pour ce débat, ce dernier serait apaisé. Si les tensions que l'on sent sont particulièrement pénibles pour tout le monde, elles sont dues au fait que nos interventions sont sans cesse interrompues, ce qui est insupportable. (Protestations sur les ...

Avec un temps programmé de cinquante heures, le débat aurait duré deux semaines, et nous n'aurions pas passé un dimanche entier ici alors que les Français ont d'autres préoccupations ! Quant à M. le président de la commission des lois, il vient de nous dire qu'il s'était fait l'avocat des droits de l'opposition. Je dis à l'homme qu'il est, au ...

Monsieur le président, Mme la garde des sceaux vient d'interpeller l'opposition en l'accusant d'être physiquement présente mais intellectuellement absente.

Je lui laisse la liberté de ses propos : après tout, c'est son droit de juger ainsi les représentants de la Nation. Mais je voudrais l'interpeller sur un autre aspect. Le Gouvernement a choisi une procédure qui conduit le président de séance à couper la parole à chaque orateur au bout de deux minutes. Il devient du coup impossible, en si peu d...