Les amendements de Guillaume Larrivé pour ce dossier

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J’aimerais que Mme la rapporteure thématique et un certain nombre de nos collègues veuillent bien accepter que l’opposition s’exprime, envisager que l’opposition ne soit pas d’accord avec la majorité – ou ce qu’il en reste – et considérer que la démocratie parlementaire, même à minuit, un vendredi, sur un texte brouillon et verbeux, puisse enco...

L’amendement no 486, cosigné par Éric Ciotti, cherche à répondre à une question aujourd’hui insuffisamment traitée par le Gouvernement. Le ministère de l’intérieur dénombre environ soixante mosquées salafistes extrémistes en France.

Nous, députés du groupe Les Républicains, pensons que le pouvoir doit exercer le pouvoir. Nous, députés du groupe Les Républicains, pensons que le Parlement doit pleinement habiliter le ministre de l’intérieur à prendre des mesures de fermeture de ces lieux de culte extrémistes qui menacent directement l’ordre public. Nous, députés du groupe Le...

Nous défendons donc cet amendement, afin de donner au ministre de l’intérieur un pouvoir de fermeture de ces lieux de culte extrémistes. Par ailleurs – c’est le deuxième élément de l’amendement –, nous pensons que le moment est également venu, pour l’Assemblée nationale, d’interdire erga omnes tout financement direct ou indirect de tout lieu d...

…et souffrez, madame la secrétaire d’État, que l’opposition ne soutienne pas la majorité et ne vote pas en faveur de ce gouvernement qui affaiblit la France et les Français.

Il y a quelques mois, le groupe Les Républicains a fait adopter un amendement visant à la mise en place d’un dispositif accéléré d’interdiction des associations ou groupements de fait menaçant l’ordre public, dans le cadre de la loi sur l’état d’urgence. La mesure a été adoptée mais pas appliquée et, le 26 juillet, nous sortirons de l’état d’ur...

Nous pensons, madame la secrétaire d’État, que vous avez tort d’écarter d’un revers de main un amendement qui pose des questions importantes et ne devra pas rester sans réponse.

Cher collègue Molac, je suis inquiet : thermidor an II, c’est la chute de Robespierre ; je ne voudrais pas que l’abrogation d’un décret pris à cette période ne ressuscite l’état du droit antérieur, celui de la Terreur. Au-delà de cette considération historico-juridique, il me semble en effet sage de ne pas adopter votre amendement.