Interventions sur "situation"

4 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Pierre Vigier :

Monsieur le ministre, monsieur le président de la commission, monsieur le rapporteur général, chers collègues, il est clair que l'exécution du budget 2016 est sans appel et confirme toutes les mauvaises nouvelles budgétaires. Ouvrons enfin les yeux ! La situation financière de l'État s'est encore fortement dégradée. Cela a été dit mais il faut le rappeler : la dette a encore augmenté, en l'occurrence de 45 milliards, pour atteindre 1 621 milliards d'euros. Les déficits sont encore beaucoup trop élevés : 69 milliards en 2016. La Cour des comptes précise même que ce budget est insincère et qu'il emporte un trou de 8 milliards ! Et tout cela, il faut le rapp...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaThibault Bazin :

... fut ministre de l'économie… Pas besoin d'être énarque pour déduire un résultat déficitaire puisque le déficit est plus de 85 % plus élevé qu'il ne l'était avant la crise financière. Pire – et vous l'avez dit, monsieur le ministre – ce résultat est un véritable trompe l'oeil. Si l'on déduit les recettes exceptionnelles comme l'attribution des fréquences hertziennes, à hauteur de 1,3 milliard, la situation de notre pays s'est encore détériorée : 45 milliards, c'est l'héritage du précédent gouvernement, dont le ministre de l'économie n'était autre qu'Emmanuel Macron ! Non, ce n'est pas un point de départ que nous connaissons mais bien plutôt une continuité entre François Hollande et celui qui fut son ministre. Ces 45 milliards portent la dette de l'État à 1 621 milliards. Non seulement c'est un éche...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaCharles de Courson :

Je trouve que les propos de notre collègue Mélenchon sont formidables. Il a été ministre et, comme beaucoup d'autres de sensibilités différentes dans d'autres gouvernements, il a contribué à cette situation.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaCharles de Courson :

Cela signifie que l'on ne réduit plus le déficit budgétaire. Voilà la situation, monsieur Mélenchon, et si vous aimez votre pays – je crois que tel doit être le cas, même si nous n'avons pas la même conception de l'amour de la patrie –, vous ne pouvez pas l'accepter, car ce sont les générations futures qui le paieront.